samedi 26 avril 2008

LES DISTRIBUTIONS REPRENNENT !!!



Bonjour à toutes et à tous,

MARDI 29 AVRIL (de 18h00 à 19h30)
Enfin !!! C'est la reprise des distributions de légumes hebdomadaires !
Jean-Philippe est prêt, il a bien chouchouté les légumes de printemps.
Ce même jour seront aussi distribués les volailles, les oeufs et les fromages de chèvre et de vache (ces produits sur commande uniquement)

Voici quelques infos à lire attentivement :

Les nouveaux adhérents n'ayant pas encore apporté leurs contrats et les chèques seront accueillis de 18h à 18h30 pour finaliser leur inscription.

Une nouveauté : l'émargement (indispensable pour savoir qui est venu ou pas) se fera désormais avant d'avoir pris ses légumes.

Bien suivre le sens de la file pour prendre ses légumes.

Consulter les quantités à prendre sur le tableau mis en place par Jean-Philippe ou sur les ardoises accrochées aux caisses.

Il est demandé à chacun de ne pas choisir les légumes car ils sont tous de très, très bonne qualité. Même les petits calibres sont d'une qualité plus qu'excellente ;-)
Il n'est agréable pour aucun adhérent de voir les légumes tâtés, touchés par de nombreuses personnes.

Pour ceux qui ont 1/2 panier, voici la marche à suivre :
- Prendre connaissance au moment de l'émargement du nom de son co-panier.
- Le premier arrivé des 2 co-paniers fait un panier entier, et ensuite fait le partage. (des coteaux seront mis à votre disposition)
- Sur les légumes du co-panier non présent, placer une étiquette avec son nom (elles seront à votre disposition près des listes d'émargement)
- Quand le 2ème co-panier arrive, il voit sur la liste d'émargement que son co-panier est déjà passé, récupère son panier et rend l'étiquette pour le mardi suivant.

Les co-paniers de la saison dernière resteront les mêmes sauf si d'ici lundi midi vous m'envoyez un mail me disant avec qui vous désirez partager le panier.
Pour les nouveaux adhérents, vous pouvez aussi me contacter à ce sujet.
Il est plus facile que les co-paniers se connaissent et si ce n'est pas le cas, nous vous conseillons de prendre vos coordonnées respectives, pour pouvoir vous rencontrer au moins une fois...

Ce système peut sembler compliqué quand on ne l'a pas pratiqué mais dès le 2ème mardi tout sera déjà plus facile.
Ce mardi 29, des "habitués" seront présents tout le temps de la distribution pour guider celles et ceux qui se sentiraient un peu perdus.

L'AMAP est animée par quelques bénévoles un peu plus investis mais chacun d'entre nous a son rôle à jouer pour que notre AMAP vive dynamiquement et convivialement.
C'est pour cela qu'il vous est demandé de vous inscrire à quelques tâches : aider Jean-Philippe à ranger les légumes, présence aux feuilles d'émargement, ranger et nettoyer en fin de distribution.
Ce n'est pas grand chose si chacun donne un peu de son temps (nous sommes presque une centaine...)

Ces quelques règles sont indispensables pour que chacun trouve ses marques, pour que la distribution ne soit une contrainte pour personne et qu'elle devienne même un moment convivial.

Je vous dis donc "à mardi !"
Bien amicalement.
Sylvie

dimanche 20 avril 2008

Des nouvelles de Jean-Philippe

La première distribution de légumes de la saison printemps-été est prévue pour le mardi 29 avril. Plus que quelques jours à attendre avant de déguster les délicieux légumes de Jean-Philippe.

5 paniers n'ont pas été encore attribués. Si vous avez des amis qui sont intéressés, n'hésitez pas à leur donner mon adresse mail et je leur donnerai toutes les informations nécessaire à leur inscription.

Jean-Philippe vient de me faire parvenir quelques photos des cultures en cours :

AUBERGINES




CONCOMBRES ET POIVRONS



COURGETTES


RADIS ET EPINARDS





TOMATES


vendredi 4 avril 2008

Les députés posent des limites aux cultures OGM



Comment garantir aux acheteurs d'un produit de qualité (Bio, Label rouge, indication géographique protégée) qu'il ne contient pas d'organismes génétiquement modifiés ? La discussion du premier article du projet de loi sur les OGM a permis aux députés de l'opposition d'obtenir du gouvernement une concession importante. Adopté avec le soutien des élus socialistes, communistes, Verts, mais aussi de quatre élus de la majorité, un premier amendement prévoit que les plantes en question ne peuvent être cultivées « que dans le respect des structures agricoles, des écosystèmes locaux, et des filières de production et commerciales qualifiées sans OGM et en toute transparence ».

Un deuxième amendement, voté à l'initiative de François Grosdidier (UMP), et soutenu par le gouver- nement, ajoute que la culture doit se faire « sans que cela nuise à l'intégrité de l'environnement et à la spécificité des cultures traditionnelles et de qualité ». Le texte initial ne stipulait que « dans le respect de l'environnement et de la santé publique ».

Les membres de la commission des Affaires économiques et le rapporteur Antoine Herth avaient jusqu'à présent refusé de telles allégations, les estimant contraires aux textes communautaires que la France doit transposer. Bruxelles ne permet pas de désigner une fraction de territoire « non OGM », à partir du moment où la semence a été homologuée. Mais poser comme principe le respect des filières donnera plus de force aux plaignants en cas de contamination. Et contraindra les assureurs à en tenir compte lorsqu'ils accepteront de couvrir ce risque.

Au-delà des questions de contamination des cultures voisines, associer OGM et produits alimentaires traditionnels est complexe. En octobre, la révélation que des producteurs de foie gras du Gers utilisaient du maïs OGM pour engraisser leurs animaux a provoqué un scandale : « Le fournisseur, les producteurs et les éleveurs qui utilisent ces maïs sont de véritables apprentis sorciers, égoïstes dans leur comportement car ils prennent le risque de fragiliser toute une filière », avait déclaré Philippe Martin, président du Conseil général du Gers.
Contestation larvée

Sentant monter la contestation des producteurs bio, mais aussi des agriculteurs de montagne, le rapporteur a prévu un amendement à l'article 3, qui doit être discuté aujourd'hui, visant à permettre à l'Institut national de l'origine et de la qualité (Inao) de proposer aux autorités des mesures restrictives. Un amendement jugé insuffisant par certains députés.

Reste à définir ce qu'est un produit sans OGM. Les directives européennes prévoient un étiquetage des produits de culture contenant des OGM à partir d'un seuil de 0,9 %. Mais les professionnels du bio préférent le seuil de détection technique en dessous de 0,1 %. En effet, ils perdent leur appellation en cas de contamination à 0,8 %. Comme ce fut le cas pour deux agriculteurs des Deux-Sèvres, qui viennent de porter plainte contre l'Etat devant le tribunal administratif de Poitiers. Leur champ bio aurait été contaminé par du maïs OGM situé à plus de 25 km.

JULIE CHAUVEAU

Article extrait de Les Echos.fr


jeudi 3 avril 2008

Vaucluse : un gel inédit frappe les cultures arboricoles



Article provenant du site MODEF PACA
Mouvement de Défense des Exploitants Agricoles Familiaux

A l'image de l'ensemble du bassin rhodanien (Drôme, Loire, Ardèche, Gard notamment), le gel de courte durée qui a sévi dans la nuit du 22 au 23 mars a eu de très lourdes conséquences en Vaucluse, affectant la quasi totalité des vergers. Il a suffit de quelques heures sur les arbres alors en pleine floraison - en particulier les abricotiers, mais également dans une moindre mesure les pêchers, cerisiers et pruniers - pour que le froid nocturne réduise à néant les futures récoltes.

L'exceptionnelle gravité des dégâts est due à un phénomène climatique relativement peu fréquent, la « gelée noire », caractérisé par un gel non pas de fin de nuit limité à une heure ou deux, mais intervenant durant plusieurs heures, se traduisant par une destruction en profondeur des fleurs, voire de certains bourgeons chargés de sève.

Les abricotiers étant au maximum de leur floraison au moment du gel, ces derniers ont été touchés dans des proportions dramatiques, les pertes d'ores et déjà constatées étant supérieures à 90% (voir photo ci contre). Les dégâts sur les pêchers, relativement moins sensibles au gel que les abricotiers seraient moins importants, mais il faudra attendre la mise à fruit pour se faire une idée plus précise. Tout comme pour les cerisiers, culture fortement développée en Vaucluse mais qui n'était généralement qu'en début de floraison au moment du gel, un bilan précis des pertes ne pourra intervenir là aussi qu'après la fructification.

Le gel a surtout frappé les communes situées en piémont (versant nord et sud du mont Ventoux et des dentelles de Montmirail, versants des monts de Vaucluse et des monts du Luberon) avec des températures pouvant aller jusqu'à -6°. Il a relativement épargné les basses plaines du Rhône et de la Durance, secteurs surtout consacrés aux fruits à pépins (pommes, poires) qui ne devraient donc pas souffrir de pertes très significatives, mais il a cependant étendu ses dégâts à l'ensemble de la basse plaine du Calavon (bassin d'Apt), voire à certaines parties des plaines comtadines (bassin de Carpentras). La vigne serait pour sa part épargnée.

Devant l'ampleur de la situation et - situation aggravante - devant le fait qu'il s'agit en Vaucluse de la deuxième année consécutive occasionnant d'importants dégâts aux cultures dus au gel (voir ici), le Modef de Vaucluse demande des mesures exceptionnelles et rapides pour soutenir les producteurs :

- Paiement immédiat des aides 2007 non encore versées

- Déblocage d'enveloppes budgétaires nationales 2008 à la hauteur répondant à la réalité de la situation des arboriculteurs

Aucun producteur ne doit disparaître du fait des pertes de récoltes, la solidarité nationale doit pleinement jouer. Le Modef de Vaucluse et ses élus resteront vigilants pour qu'à toutes les étapes de la procédure ce principe soit pleinement respecté.

mercredi 2 avril 2008

Jus de pommes et poires : livraison supplémentaire


Notre productrice de pommes, poires et jus de fruits propose, à ceux qui n'ont pas pu récupérer les jus supplémentaires commandés pour le 1er avril, la possibilité de leur en apporter le 11 avril quand elle viendra sur Marseille (St Giniez, 19h).

Je me charge de lui faire passer la commande, mais il faut faire vite!
Veuillez m'en faire part rapidement (avant le 06/04) si ça vous intéresse,
merci.
Je vous enverrai confirmation avant la distribution, ainsi que le lieu de récupération précis.

Bonne fin de semaine à tous.

Magali BELON

mardi 1 avril 2008

Nouveaux produits BIO pour notre AMAP

Peuchère (ave l'accent), une AMAP à Marseille sans poisson BIO ????????

Voilà un manque presque comblé car nous avons été contacté par un pêcheur des Goudes, et après avoir goûté plusieurs fois aux fruits de ses pêches régulières nous avons décidé que tous les mardis, il viendrait à la Belle de mai nous proposer ses délicieux poissons.
Ses prix sont attractifs, ses poissons plus frais que frais, le seul inconvénient est que ce pêcheur a atteint un certain âge, que son temps de pêche est limité et donc la quantité de poissons à vendre sera minime.
Les premiers arrivés seront les premiers servis !

J'ai reçu la première commande de François M., adhérent fidèle de notre AMAP :

"Comme annoncé sur le blog, vu que les prix sont vraiment intéressants et que c'est du poisson du jour, je commande :
- 1 caisse de sardines à griller
- 1 rascasse
- 1 petit loup
- 1 soupe de poissons (pour 6)
Merci de les mettre de côté je passerai après la réunion que j'ai vers 18h45
Bises."

Nous verrons dans les prochaines semaines si nous mettons en place un système de contrat.
N'hésitez pas à nous faire vos suggestions, elles seront les bienvenues !