lundi 30 juin 2008

Dans le panier du 1er juillet



Vous trouverez :

- des salades
- des courgettes
- des aubergines
- des tomates
- des oignons
- du persil
- du basilic
- des pommes de terre
- des concombres
- des fraises




mardi 24 juin 2008

Distribution du 24 juin


Les fraises ont toujours beaucoup de succès !


Et les tomates, n'en parlons pas !






Les pommes de terre nouvelles sont arrivées.



Les premières grosses tomates : cela sent l'été...






Grande discussion autour des fromages.


Ils sont à qui ces sacs de fromages ?




Jean-Claude et sa délicieuse huile de Cotignac.


En plein travail pour l'émargement.


Les nouvelles cartes d'adhérent sont arrivées. Avez-vous penser à régler vos cotisations ?


Jean-Philippe, fidèle au poste.



Visite de la ferme de JP : samedi 28 juin



La visite de la ferme aura donc lieu samedi 28 juin à partir de 11h 00.

Voici le plan et quelques explications pour s' y rendre.

Cliquer sur le plan pour l'agrandir.

En venant de Marseille :
- Prendre la route de St Zacharie jusqu'au panneau "Moulin de Redon".

- Au magasin de primeurs, profiter de la visibilité et de l'espace pour tourner à gauche et revenir sur ses pas jusqu'au deuxième chemin à droite (bitumé au départ), avant la glissière de sécurité.

- Il y aura une signalisation AMAPBDM à l'entrée du chemin.

Chaque famille apporte de quoi composer le buffet que nous partagerons en toute Amitié.



De l'huile pour moteur dans nos assiettes !!!



Voici quelques extraits d’articles du “Canard Enchainé” parus durant le mois de mai à propos de la contamination de denrées alimentaires par de l’huile… de moteur. Lesquels produits sont en grande partie encore en rayon parce qu’”il n’y a aucun danger sur la santé” et “aucun impact sur le goût” d’après le service de répression des fraudes.

Ces articles démontrent - une fois de plus - que dans notre belle société moderne, la santé humaine est sacrifiée sur l’autel des profits.

Il faut faire circuler ces infos le plus largement possible. D’après le Canard Enchaîné de cette semaine, l’ANIA (Association Nationale des Industries Alimentaires) attend d’éventuelles reprises des informations par la presse pour commencer à réagir… Et si on les aidait ?


[Le Canard enchainé, 14 mai 2008]

Achetées en Ukraine, 40000 tonnes d’huile de tournesol coupée au lubrifiant pour moteur ont été distribuées en Europe. Et les produits concernés n’ont pas du tous disparu des rayons français.


Depuis le 5 mai, de mayonnaise, des plats cuisinés, de la vinaigrette industrielle, des conserves à l’huile, etc… préparées avec de l’huile de moteur sont en vente dans les grandes surfaces. Et ce avec la bénédiction des pouvoirs publics et de la Commission européenne. Bien sur, le consommateur n’a pas été informé…

Officiellement, tout commence le 21 avril dernier, quand le groupe Saipol, numéro un français de la transformation des oléagineux et accessoirement propriétaire de Lesieur, prévient la Répression des Fraudes que son usine de Sète, où est raffinée de l’huile de tournesol brute, il y a un sérieux pépin. Une grosse rasade d’huile achetée en Ukraine est farcie à l’”huile de moteur“, huile minérale dérivée d’hydrocarbure. Et pas qu’un peu : d’après nos informations, sur 2800 tonnes d’huile apparemment irréprochable, livrées en France, 19 tonnes auraient mieux fait d’aller graisser des rouages et des pistons que des gosiers.

Deux jours plus tard, la France informe officiellement ses voisins européens : cette cargaison fait partie d’un énorme lot de 40000 tonnes, qui a atterri non seulement en France, mais aussi aux Pays-Bas, en Italie et en Espagne. Et c’est tout le lot qui a été trafiqué ! De quoi, pour les escrocs, se faire du beurre : sachant que la tonne d’huile de tournesol brute est vendue 1800 euros et que d’après les confidences d’un fonctionnaire de la Commission européenne, ce sont en tout pas moins de 280 tonnes d’huile de moteur qui ont été introduites en douce dans les containers, les margoulins d’Ukraine ont empoché un bénéfice de 504000 dollars (moins ce qu’ils ont déboursé pour l’huile bidon, certes, mais celle ci coûte des clopinettes).


A partir du 26 avril, la Commission européenne et la répression des fraudes rendent publique l’alerte. Officiellement, l’huile de tournesol frelatée mise en bouteilles et les plats préparés à partir de cette mixture ont tous été retirés des rayons et “n’ont pas atteint le consommateur“.

Fort bien, mais, au fait combien de lots ont été retirés en tout ? Questionnée par “Le Canard”, la DGGCRF, autrement dit, la Répression des fraudes, explique que “compte tenu du nombre d’entreprises concernées, il est impossible d’en connaître le nombre exact“. Chez Carrefour Promodès, enseigne qui possède la moité des grandes surfaces alimentaires en France, on admet du bout des lèvres avoir retiré pas moins de… 200 produits concernés !


Bref, tout baigne. Sauf qu’il reste un léger problème : Saipol, la maison mère de Lesieur (laquelle marque a fait répondre au Canard par son agence de com’ qu’elle n’était “en rien concernée“), a reçu sa cargaison d’huile frelatée fin février. Et n’y a vu que du feu. Jusqu’à ce qu’un mois plus tard un industriel du nord de l’Europe, destinataire du même lot, l’informe après analyse que quelque chose clochait dans l’huile de tournesol ukrainienne .

Et ce n’est qu’un mois plus tard que Lesieur a enfin sonné l’alerte auprès de la Répression de fraudes. La question qui se pose est cruciale : combien de produits assaisonnés à l’huile frelatée ont été conditionnés et commercialisés entre-temps ? Saipol reconnait avoir raffiné l’huile en question pour la vendre ensuite à “une trentaine de clients de l’industrie agroalimentaire“1 , dont il refuse de citer les noms. Mystère et salade verte. […]


Mais il y a plus sérieux : contrairement à ce qu’ont d’abord assuré la Commission européenne et les pouvoirs publiques français, tous les produits additionnés d’huile contaminés n’ont pas été retirés des rayons. En effet, le 2 mai, la Commission européenne s’est fendue en catimini d’une recommandation autorisant la vente de tous les aliments contenant moins de 10% d’huile de tournesol frelatée. […]

Comme l’admet la DGCCRF dans une note adressée au Canard, le 7 mai, “en l’absence de toxicité aiguë”, tant pis pour les mayonnaises et autres petits plats déjà vendus. “Aucun rappel” n’a été effectué .[…]

Bref, il va s’en dire que les entreprises vont se cacher derrière les recommandations du service public. Pour une affaire qui sort dans la presse, combien sont inconnues ? Comment faire confiance aux agro-industries actuelles qui préfèrent nous empoisonner plutôt que de perdre de l’argent ? Pour l’intérêt de notre santé, nous savons ce qu’il nous reste à faire… cessons de consommer ces produits et parlons-en autour de nous.

Les marques concernées, à boycotter d'urgence et durablement, sont les suivantes :

Lesieur

Fruit d'or


Epi d¹or

Frial

Isio 4

Oli

Carapelli

Saupiquet

Toutes les marques du groupe UNILEVER, par exemple :

Amora

Planta Fin

Maille

Knorr

Magnum

Miko

Les produits les plus susceptibles de contenir de l'huile empoisonnée sont les suivants :

Mayonnaise

Tarama

Sauce Béarnaise

Chips

Vinaigrette allégée

Surimi

Céleri Rémoulade

Soupe de poisson en conserve

Poisson pané

Paupiettes de veau

Thon et sardines à l'huile

Pâtes à tartiner chocolatées

Gaufrettes à la confiture

Barres céréalières et sucrées pour les enfants

Cookies



RECETTE : Faire griller des aubergines



- préchauffer le gril du four
- couper les aubergines en 2 dans le sens de la longueur
- strier la chair avec la pointe d'un couteau
- déposer les moitiés d'aubergine sur une plaque à four huilée
- saler et poivrer la chair
- arroser d'huile d'olive
- enfourner pour 15 à 20 minutes de cuisson à mi-hauteur
- tester la cuisson de la pointe du couteau : si la pointe s'enfonce facilement, la chair est cuite
- surveiller la cuisson pour éviter que les aubergines ne noircissent

prévoir de l'ail, du citron et du cumin si vous souhaitez réaliser un caviar d'aubergines.

lundi 23 juin 2008

Dans le panier du 24 juin





Vous pourrez mettre :

- des courgettes
- des pommes de terre
- de l'ail
- des poivrons verts
- des tomates
- des oignons blancs
- des concombres
- des aubergines
- des salades
- des fraises
- du persil
- du basilic


Seront aussi livrés :

- les fromages de chèvre et de vache
- les fromages de brebis
- l'huile d'olive


Pensez à apporter le chèque de 10 euros pour la cotisation.


mercredi 18 juin 2008

Cotisation 2008


Comme vous l'avez sans doute remarqué lors de la signature de votre contrat pour la saison printemps-été, vous n'avez réglé aucune cotisation à votre Association AMAPBDM.
C'est volontairement que nous avons décidé de vous la demander plus tard, une fois que les adhésions seraient complètement terminées.

C'est chose faite !
Notre trésorier, Guillaume , sera présent pendant toute la distribution du MARDI 24 JUIN (et uniquement ce jour là) pour "récolter" vos cotisations.
Son montant est fixé à 10 €, à régler par chèque uniquement, à l'ordre de AMAPBDM.

mardi 17 juin 2008

Placement en garde à vue d’un trafiquant de tomates importées à Berre : Halte aux amalgames



Article extrait du blog modef-paca

MODEF PACA : Mouvement de Défense des Exploitants Agricoles Familiaux

Un producteur de tomates de Berre soupçonné de revendre en son nom des produits importés à bas prix en provenance d'Espagne et de faire travailler de la main d'œuvre non déclarée, le tout pour engranger des bénéfices illégaux, vient d'être placé en garde à vue.

Le Modef des Bouches du Rhône apporte son soutien le plus résolu à la justice pour que celle-ci fasse son travail et condamne le cas échéant celui-ci à la plus forte peine.

Si le droit à la liberté d'information est un acquis inaliénable qui doit est défendu sans aucune faiblesse, il ne faudrait pas pour autant que ce droit soit
le prétexte à des dérapages.

Une campagne médiatique inacceptable s'ouvre en effet aujourd'hui sur le fait que tous les paysans seraient à mettre dans le même panier et que le
paysan incriminé serait une figure syndicale agricole dans les Bouches du Rhône.

Le Modef des Bouches du Rhône apporte un démenti catégorique à ces affirmations ou à ces sous entendus.

L'immense majorité des paysans effectuent honnêtement leur travail. Le Modef condamne fermement ceux, et ils sont une poignée, qui par leurs pratiques illégales jettent un discrédit inacceptable sur toute la profession.

L'agriculteur qui vient d'être placé en garde à vue - mais peut on encore parler d'agriculteur - n'est pas connu pour s'être engagé activement dans le
combat syndical. Et si d'aventure ce dernier était adhérent d'une organisation, il ne mériterait pas cet honneur.

On voit bien où de tels amalgames aboutissent.
On jette le discrédit sur la profession agricole alors que cette dernière a besoin plus que jamais du soutien de l'opinion. On discrédite l'engagement
syndical alors que celui n'a jamais été aussi indispensable.

Ce faisant, on affaiblit encore plus une profession qui subit une des pires crises de son histoire et qui est placée devant la nécessité absolue d'obtenir
collectivement les mesures indispensables pour en sortir.

Daniel Roche

Les cerises du jour, les dernières de la saison












lundi 16 juin 2008

Printemps BIO 2008 : du 1er au 15 juin dans toute la France


Du 1er au 15 juin 2008 dans toute la France, l’ensemble des acteurs de l’agriculture biologique s'est mobilisé pour la nouvelle édition de la quinzaine
nationale d’information et de valorisation des produits issus de l’agriculture biologique. Cette année est marquée par les interventions spécifiques des interprofessions partenaires.

L’événement, coordonné par l’Agence BIO, s'est matérialisé par des initiatives dans toutes les régions de France : fermes et entreprises ouvertes au public, conférences, expositions, visites de vignobles, repas bio en restauration collective et animations particulières. Ces initiatives sont valorisées sur le site
Le site de Printemps Bio En 2008, l’évènement de lancement de Printemps BIO s'est déroulé dans la région des Pays de la Loire, en coopération avec
’Interprofession bio régionale.

Au programme : une conférence de presse et un événement grand public au coeur de la ville de Nantes, avec notamment des ateliers de dégustations des
produits bio régionaux, des animations festives, des jeux découverte pour les enfants,...


Le blog du Commerce Equitable et du Bio


Créé fin 2007 par une « consommatrice responsable », Lisa Leroy, le blog du commerce équitable et du bio est un espace d’échange unique et indépendant, où passionnés et curieux du commerce solidaire et des produits naturels peuvent communiquer et débattre autour des thèmes
quotidiennement proposés.

Qu’est-ce que le commerce équitable ? Où peut-on trouver des produits bio ? Comment intégrer une démarche éthique et équitable dans son comportement d’achat ? Découvrez tout ce qu’il faut savoir sur le commerce équitable et comment s’engager au quotidien pour améliorer les conditions de millions de producteurs, consommer naturel et ainsi préserver la planète.

A travers les nombreuses rubriques proposées, apprenez les principes du commerce équitable, à cuisiner bio, à adopter un comportement écologique au quotidien; découvrez des femmes et des hommes engagés sur le terrain grâce à la vidéo du moment; débattez autour des grands thèmes de l’équitable, et bien sûr prenez connaissance des produits de demain et de leurs lieux de ventes.

Et pour que demain soit plus juste qu’aujourd’hui, avec Lisa, partageons ensemble notre passion du monde, de l’homme et de son travail !

RDV sur Le Blog du Commerce Equitable et du Bio


Alerte sur les dangers du téléphone portable



19 médecins, dont une majorité de cancérologues, réunis par et autour du Dr David Servan-Schreiber ont une inquiétude en commun, celle que le
téléphone portable s’avère nocif pour la santé de leurs gros utilisateurs. Ils appellent à la prudence, rejoignant les inquiétudes de plusieurs associations
environnementales il y a quelques mois.

Cette vingtaine de scientifiques lancent un appel à la prudence dans l'utilisation des téléphones portables, tout en dénonçant les dangers liés à son utilisation de façon intensive, surtout chez les enfants plus vulnérables aux rayonnements électromagnétiques.




Cette vingtaine de cancérologues et scientifiques viennent de publier sur le site Internet guerir.fr un appel à la prudence concernant l’utilisation du
téléphone portable. « Les champs magnétiques émis par les téléphones portables doivent être pris en compte en matière de santé » estiment le collectif de médecins qui précisent que les « études disponibles mettent en évidence une pénétration significative des champs électromagnétiques des téléphones portables dans le corps humain. »

Or ces champs électromagnétiques auront divers effets biologiques, et cela
« même en dessous des seuils de puissance imposés par les normes de

sécurité européennes, une association probable avec certaines tumeurs bénignes (neurinomes du nerf acoustique) et certains cancers du cerveau, plus marquée du coté d’utilisation de l’appareil. »



Les médecins estiment que le principe de précaution doit battre son plein. Ainsi, dans l’attente de données définitives portant sur des périodes
d’observations prolongées, les résultats imposent que l’on fasse part aux utilisateurs de portables « des mesures les plus importantes de précaution. »

Au nombre de ces mesures, les médecins préconisent l’interdiction d’utiliser des téléphones portables pour les enfants de moins de 12 ans ;
essayez autant que possible de maintenir le téléphone à plus d’1 m du corps ;
- utilisez le mode « haut-parleur », ou un kit mains libres équipé d’un tube à air dans ses derniers 20 cm ;
- restez à plus d’un mètre de distance d’une personne en communication ;
- évitez de porter un téléphone mobile sur soi, même en veille ;
- utilisez son téléphone portable pour des conversations de quelques minutes seulement ;
- changez de côté régulièrement, et avant de mettre le téléphone portable contre l’oreille, attendre que son correspondant ait décroché ;
- communiquez par SMS plutôt que par téléphone ;

"Le téléphone portable est une invention remarquable et une avancée sociétale importante. Nous ne nous en passerons plus. Aucun des membres du comité d’experts ci-dessous n’a renoncé à l’utilisation d’un téléphone portable. Même moi (DSS), porteur d’un cancer au cerveau, je ne m’en passerai plus. En revanche, nous, les utilisateurs, devons tous prendre les mesures de précaution qui s’imposent aux vues des données scientifiques récentes sur leurs effets biologiques, particulièrement si nous sommes déjà porteur d’un cancer avéré.

Par ailleurs, les constructeurs et les opérateurs doivent aussi prendre leurs responsabilités. Il leur revient de fournir aux utilisateurs des appareils et des
équipements qui permettent le plus bas niveau de risque possible et de faire constamment évoluer la technologie dans ce sens. Ils doivent aussi encourager les consommateurs à utiliser leurs appareils de la façon la plus compatible avec la préservation de leur santé.

Au début des années 1980, lorsque les propriétaires des mines d’amiante se sont vus réduits à la banqueroute sous l’effet des procès des familles des
personnes décédées à cause de leur exposition professionnelle, Johns Manville, le plus important d’entre eux, a tiré les leçons de ses années de lutte contre les données médicales et scientifiques qui mettaient en cause son industrie. Il concluait, avec regrets, que davantage d’avertissements appropriés pour le public, la mise en place de précautions plus efficaces, et davantage de recherche médicale « auraient pu sauver des vies, et probablement les actionnaires, l’industrie, et du coup les bienfaits de son produit.
C’est ce que nous souhaitons aujourd’hui à l’industrie du téléphone portable. Il ne s’agit pas de bannir cette technologie, mais de l’adapter – de la
maîtriser – afin qu’elle ne devienne jamais une cause majeure de maladie."





LES 20 SIGNATAIRES


- Dr Bernard Asselain, Chef du service de Biostatistiques du Cancer, Institut Curie

- Pr Franco Berrino, Directeur du Département de Médecine Préventive et Prédictive de l’Institut National du Cancer, Milan, Italie

- Dr Thierry Bouillet, Cancérologue, Directeur de l’Institut de Radiothérapie, Centre Hospitalier Universitaire Avicenne, Bobigny

- Pr Christian Chenal, Professeur Émérite de Cancérologie, Université de Rennes 1 et ancien responsable de l’équipe de recherche CNRS « Radiations, Environnement, Adaptation »

- Pr Jan Willem Coebergh, Cancérologue, Département de Santé Publique, Université de Rotterdam, Pays Bas

- Dr Yvan Coscas, Cancérologue, Chef du service de radiothérapie, Hôpital de Poissy St Germain

- Pr Jean-Marc Cosset, Chef de département honoraire d'Oncologie/Radiothérapie de l'Institut Curie, Paris

- Pr Devra Lee Davis, Chef du Département de Cancérologie Environnementale, Université de Pittburgh, Etats-Unis

- Dr Michel Hery, Cancérologue, Chef du Département de radiothérapie, Centre Hospitalier Princesse Grâce, Monaco

- Pr Lucien Israël, Professeur Émérite de Cancérologie, Université Paris XIII, Membre de l’Institut

- Jacques Marilleau, Ingénieur SUPELEC, ancien physicien au Commissariat à l’Energie Atomique et au CNRS Orsay

- Dr Jean-Loup Mouysset, Cancérologue, Polyclinique Rambot-Provençale, Aix-en-Provence, Président de l’association Ressource

- Dr Philippe Presles, Président Institut Moncey de Prévention Santé, Paris, Auteur de « PREVENIR », Robert Laffont, 2006

- Pr Henri Pujol, Cancérologue

- Joël de Rosnay, Docteur ès Sciences, Ecrivain scientifique

- Dr Simone Saez, Docteur ès Sciences, ancien chef de Service du Centre de Lutte contre le Cancer Léon Bérard, Lyon
- Dr Annie Sasco, Docteur ès Sciences, Directrice de l’Equipe d’Epidémiologie pour la Prévention du Cancer – INSERM, Université Victor Segalen Bordeaux 2

- Dr David Servan-Schreiber, Docteur ès Sciences, Professeur clinique de Psychiatrie, Université de Pittsburgh, Auteur de « ANTICANCER », Editions
Robert Laffont, 2007

- Dr Pierre Souvet, Cardiologue, Aix-en-Provence, Président de l’Association Santé Environnement Provence

- Dr Jacques Vilcoq, Cancérologue, Clinique Hartmann, Neuilly-sur-seine

lundi 9 juin 2008

Dans votre panier du mardi 10 juin 2008...



... Vous pourrez mettre :

- des salades

- des courgettes

- des concombres

- des oignons

- des pommes de terre

- des fèves

- de l'ail

- des aubergines

- des fraises peut-être... cela dépend du temps (pluie)

- des artichauts peut-être... cela dépend de la quantité récoltée, c'est la fin des artichauts !


dimanche 8 juin 2008

BIOCOOP



Un nouveau magasin Biocoop, magasin d'alimentation bio et d'éco-produits, vient d'ouvrir à Marseille, le 28 mai 2008.


87, Rue d'Italie
13006 Marseille

Tél : 04 91 63 52 86

Mardi : de 9h30 à 19h30 en continu
Mercredi : de 9h30 à 12h30 et de 15h00 à 19h30
Jeudi : de 9h30 à 19h30
Vendredi : de 9h30 à 19h30
Samedi : de 9h00 à 13h00 et de 15h00 à 18h30



Biocoop rassemble plus de 300 magasins bio autour d’un objectif commun : le développement de l’agriculture biologique dans un esprit d’équité et de coopération.

Leader de la distribution alimentaire biologique, Biocoop s’illustre aussi par ses produits du commerce équitable et par un choix très étendu d’écoproduits et de cosmétiques.

Plus qu’un simple réseau de commerçants, Biocoop souhaite aussi peser sur les choix de société et partage son projet avec d’autres acteurs : salariés, consommateurs, producteurs et partenaires.

Le site des magasins Biocoop

jeudi 5 juin 2008

5 juin : Journée mondiale de l'Environnement


La Journée mondiale de l'environnement, célébrée chaque année le 5 juin, nous concerne tous directement.


C'est, pour les Nations Unies, l'un des principaux moyens pour susciter une plus grande prise de conscience envers l'environnement et promouvoir l'intérêt et l'action politique.


Le thème de la Journée mondiale de l'environnement retenu pour 2008 est le suivant : " Non à la dépendance! Pour une économie à faible émission de carbone".


Reconnaissant que le changement climatique est une des préoccupations les plus importantes de notre temps, Le PNUE demande les pays, les industries et les communautés de modifier les comportements en vue de parvenir à des économies et styles de vie à faible carbone.


L'objectif du jour est de donner un visage humain aux problèmes environnementaux;
amener les peuples à devenir les agents actifs du développement durable et équitable;
promouvoir la compréhension du fait que les communautés sont incontournables dans les changements d'attitudes en ce qui concerne les problèmes environnementaux;
et défendre le partenariat qui assurera à toutes les nations et les peuples d'apprécier un futur plus sûr et plus prospère.





Avec la croissance rapide des villes, l'agriculture urbaine et périurbaine joue un rôle de plus en plus important dans l'alimentation des citadins, souligne l'organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture, à l'occasion de la Journée mondiale de l'environnement.