jeudi 26 février 2009

RECETTE : tarte aux blettes, parmesan et ricotta



Ingrédients :

1 rouleau de pâte feuilletée
1 bouquet de feuilles de blettes
4 oeufs
20 cl de crème liquide entière
250g de ricotta
1 cube de bouillon
3 CS de parmiggiano râpé
2 CS de chapelure
Noix de muscade râpée
Poivre

Préparation :

Faites préchauffer le four à 210°C.

Beurrer un plat à tarte.
Y disposer la pâte feuilletée.
En attendant de finir la préparation, mettre le plat à tarte au frigo.

Délayer le cube de bouillon avec 1 litre d'eau.
Faites bouillir et ajouter les feuilles de blettes (sans enlever le blanc mais en coupant légèrement la base) et laisser cuire l'ensemble pendant une dizaine de
minutes.
Laisser égoutter quelques minutes les feuilles et les couper en tronçons.
Laisser tiédir.

Dans un bol, mettre la ricotta.
Ajouter les oeufs progressivement en fouettant régulièrement.
Ajouter alors la crème liquide, le parmiggiano, la chapelure, un peu de noix de muscade râpée.
Poivrer et ajouter les blettes coupées.

Verser l'ensemble sur la pâte feuilletée et faire cuire pendant 40 minutes au four.
Laisser tiédir quelques minutes avant de servir




RECETTE : Gratin de blettes



Ingrédients :

750g de vert de blettes
2 Cs d'huile d'olive
400g de lardons
3 échalotes
thym, persil, laurier
3 oeufs entiers
3 jaune d'oeuf
1/4 de litre de lait
50g de farine
sel, poivre, muscade

Recette :

Coupez les feuilles de blettes en julienne.
Dans une casserole, versez les blettes avec 2 cs d'huile.
Faites les fondre.
Incorporez les échalotes, le persil, thhym, laurier.
Dans une poêle faites dorer les lardons.
Hors du feu, versez les lardons, les oeufs et les jaunes, mélangez, mouillez avec le lait.
Assaisonnez de sel, poivre du moulin et noix muscade.
Versez dans un plat à gratin, au four à 220°C (th.6-7) et laissez cuire 40-45 minutes.
Servez tiède avec une viande ou une salade.



mercredi 25 février 2009

Tout savoir sur... LES BLETTES






La poirée, ou bette, ou encore blette, est une plante herbacée annuelle de la famille des Chénopodiacées, cultivée comme plante potagère pour ses feuilles ou pour ses côtes (ou cardes), consommées comme légume.

Botanique

Nom scientifique : Beta vulgaris L. subsp. vulgaris (Synonyme : Beta vulgaris var. cicla), famille des Chénopodiacées tribu des Cyclolobae (située dans les Amaranthacées par la classification phylogénétique).

Nom commun : bette à cardes, blette, poirée à cardes.

Cette plante, dicotylédone, apétale, dériverait de la betterave maritime qui est spontanée sur les rivages maritimes en Europe.
C'est une plante très proche de la betterave. Ce sont en fait des formes dérivées de la même sous-espèce.



Description

La blette est une plante herbacée, bisannuelle rustique, cultivée comme une plante annuelle pour ses feuilles. Celles-ci, de grande taille, souvent cloquées, ont un pétiole large et charnu qui peut être blanc, rouge, jaune... Le limbe varie du vert au rouge vineux.
La tige florale apparaît la deuxième année, en été, de juillet à septembre. Elle peut atteindre 2 m de haut. Les fleurs sont réunies en longs panicules au sommet ou à l'aisselle des feuilles. C'est une plante pollinisée par le vent.
Les fruits, sortes de glomérules, contiennent plusieurs graines brunes et brillantes.




Utilisation

On consomme le limbe des feuilles, cuit et haché, à la manière des épinards.
On consomme aussi, à la manière des cardons, les « côtes », constituées par le pétiole prolongé par la nervure principale, qui sont très charnues dans les variétés de « poirées à cardes ».
Très utilisées dans la cuisine niçoise, on consomme toutes les parties de la plante : les feuilles hachées entrent dans la composition de la tourte de blettes, des raviolis et du célèbre tian.
La partie verte remplace les usages que l'on fait ailleurs des épinards et les côtes s’accommodent de plusieurs manières : à la vapeur avec un filet de citron, frites ou en gratin.




Cette plante est de plus en plus cultivée comme plante ornementale, pour les contrastes de coloris de ses pétioles jaunes, orangés, rouge vermillon ou vert anis selon les variétés.




Économie

La France produit annuellement environ 16 000 t de ce légume[réf. nécessaire].

Culture

Comme la betterave, la blette demande un sol frais et profond, bien ameubli et bien fumé. La multiplication se fait par semis directement en place, au printemps, vers le mois d'avril.

La récolte des feuilles peut intervenir à partir de deux mois et demi après le semis, et s'échelonne jusqu'au premières gelées d'automne. Pour les variétés à cardes on prélève les feuilles externes au fur et à mesure, pour les variétés à couper (bette-épinard) on coupe toute la plante qui reforme de nouvelles feuilles par la suite.



Principales variétés cultivées

Il existe de très nombreuses variétés, cultivées pour les feuilles ou pour les cardes.

* Bette épinard
* Verte à couper
* bette blanche commune
* Frisée à carde blanche
* Blonde à carde blanche de Lyon
* Verte à carde blanche de Paris
* A carde rouge
* A carde jaune du Chili



Histoire

Originaire d'Europe méridionale, ce légume est appelé dans l'antiquité beta chez les Romains, il est signalé par Pline l'Ancien.
C'est une plante qui figurait parmi les plantes potagères recommandées dans le capitulaire De Villis au Moyen Âge sous le nom de beta, sans qu'on sache précisément s'il s'agissait de variétés cultivées pour leurs racines ou pour leur feuilles.

Bien acheter

Feuilles bien vertes, brillantes, croquantes, sans taches ni flétrissures. Si les feuilles commencent à jaunir, c'est que le légume est vieux.

Bien conserver

Les bettes sont sensibles à la pression : les garder au frais sans les entasser.
Elles se gardent mieux que les épinards, mais pas plus de 2 à 3 jours.
Si besoin est, les asperger d’eau.

Vertus

Les blettes sont une excellente source de potassium…
Elles peuvent à ce titre permettre de lutter contre l’hypertension artérielle
Les blettes vertes sont les plus riches en calcium et magnésium, des micronutriments qui concourent également à prévenir l’hypertension.




vendredi 20 février 2009

Pour le mardi 24 février


Et oui ! Ce mardi marquera la fin de la saison automne-hiver pour les distributions des légumes de JP.
La saison printemps-été reprendra le 28 avril si l'état de la production le permet.

Nous aurons en plus les livraisons :
- des fromages de Monique
- de l'huile de Jean-Claude
- des fruits et jus de Francine


Dernier jour aussi pour :
- le dépôt des contrats légumes pour les anciens et nouveaux adhérents
- le paiement de la cotisation annuelle à l' Association
- le dépôt des contrats fromages
- le dépôt des contrats agneaux

Durant les 2 mois d'arrêt des distributions de légumes il y aura tout de même une livraison de fromages fin mars, et peut-être, un essai pour des oeufs et volailles. Guillaume et Sandrine sont en train de le mettre en place.

A mardi !


lundi 16 février 2009

RECETTE : Velouté de potiron aux cèpes


Un velouté de potiron relevé de cèpes.
Recette simple et délicieuse !

Ingrédients :

1 kg de potiron
1 gros oignon
bouillon de poule
20 cl de crème liquide
40 g de cèpes séchés
2 c à s d’huile d’olive
Persil
Noix de muscade
Poivre de moulin et sel

Préparation :

- Pelez et émincez l’oignon. Pelez le potiron.
- Faites revenir sans colorer l’oignon dans l’huile d’olive ensuite, ajoutez le potiron détaillés en petits morceaux.
- Mouillez avec le bouillon, amenez à ébullition et laissez cuire à couvert sur feu modéré pendant 15 minutes. Mixez l’ensemble.
- Réhydratez les cèpes dans 20 cl d’eau tiède pendant 30 min. Après ce temps, égouttez les cèpes et ajoutez l’eau de marinade ainsi que les cèpes.
- Laisser mijoter 5 mn
- Mixer
- Ajouter la crème
- Assaisonnez de noix de muscade, de poivre et de sel à votre convenance.
- Servez dans des assiettes chaudes, garnissez de persil haché et d’une cuillère de cèpes.



LA ROUE VERTE : le co-voiturage régulier à la carte


Dans la jungle du co-voiturage, et des centrales de mobilité, voila La Roue Verte un outil très malin, gratuit, et à la portée de tous.

Du sur mesure

Marie Martèse a eu besoin un jour de se déplacer. Elle a tenté le coup sur le web et s'est rendue compte que rien ne correspondait à ses besoins. Il y avait bien des sites, mais soit, ils étaient imprécis, soit peu pratiques d'utilisation, ou encore il fallait prendre un abonnement trop onéreux.
Alors Marie s'est jetée à l'eau. L'informatique, elle connaît, c'est son métier. Elle est partie de l'idée simple de la géolocalisation, c'est à dire la situation géographique de votre adresse. Alors, elle s'est mise d'arrache-pied durant des mois à générer des lignes de codes, à tout rentrer dans une machine. Voilà. Le résultat est superbe. Un site web simple, efficace. Marie n'a pas oublier qu'il fallait remettre l'humain au centre des choses. Ce site plaît tout de suite à l'utilisateur.



La roue verte, le Co-voiturage intelligent

Depuis son lancement, il y a plus d'un an, le site utilise la géolocalisation pour proposer à ses inscrits les trajets les plus proches. Mais avec la flambée des prix de l'essence, les visiteurs ont afflué sur le site et il a fallu être plus sélectif.
« À partir du moment où nous avons trouvé plus de cinq offres de covoiturage sur les trajets les plus fréquentés, explique Marie Martese, fondatrice du site, nous avons réfléchi pour proposer des solutions plus efficaces. Dès lors qu'un internaute doit chercher la bonne annonce parmi plusieurs dizaines, les chances de voir le covoiturage se réaliser sont faibles. »

Le nouveau moteur de recherche de La Roue Verte s'appuie désormais sur une dizaine de critères pour définir un coefficient de pertinence avant de vous proposer un covoitureur ! Horaires, itinéraire complet, portion de trajet commune, distance pour aller chercher et déposer le covoitureur : rien n'est laissé au hasard avant de vous proposer les personnes avec qui vous avez le plus de chance de covoiturer.

« Les salariés parcourent parfois plus de 100 km pour se rendre à leur travail, précise Marie Martese. Sur le trajet Rennes / Nantes, par exemple, nous avons une trentaine d'inscrits ! Pour ces personnes, se déplacer autrement est désormais presque obligatoire. Nous essayons de leur faciliter la tâche en les mettant en relation avec les personnes qui font le trajet le plus similaire possible. »

Le site reste gratuit pour les internautes, de qualité professionnelle et sans publicité. Il fonctionne partout en France et il est d'une simplicité d'utilisation enfantine.
Alors n'hésitez plus, rejoignez la communauté La Roue Verte pour partager votre voiture une fois par semaine ou plus, selon vos possibilités !




Pourquoi covoiturer ?

Une étude de l’INSEE montre que si 70 % des Français déclaraient en 2003 utiliser en majorité leur véhicule personnel pour aller travailler, nous ne sommes seulement que 2 % à déclarer partager une voiture.

Pourtant, aujourd’hui plus que jamais, il faudrait remettre en question notre utilisation quotidienne de la voiture.

D’abord, parce que le parc automobile ne cesse de croître, et que le kilométrage annuel moyen des véhicules augmente également, ce qui n’est pas le cas de la place octroyée à la circulation. Il en résulte logiquement un accroissement inquiétant des encombrements et les chiffres des prévisions du SES en matière de circulation ne sont pas rassurants.

Ensuite, et bien sûr, parce que le prix de l’essence ne cessera probablement pas d’augmenter dans les décennies à venir, et que cette augmentation est désormais bien supérieure à celle des revenus des ménages.

Enfin, la situation écologique exige que l’on change nos habitudes. Les véhicules personnels sont de loin la plus grosse source de pollution de l’air qui provoque de sérieux problèmes de santé chez les personnes exposées, et coûte aux contribuables français plus de 6 milliards d’euros par an (coûts environnementaux et d’effet de serre).

Evidemment, l’on pourrait s’imaginer que le futur nous donnera les alternatives qui nous délivreraient d’un ou plusieurs problèmes évoqués ci-dessus.
Peut-être que cela sera le cas, mais certainement pas dans un futur proche.
Les moteurs à énergie « mixte » consomment à peine moins de carburant que les véhicules diesel ; les facturations de circulation en ville (telle Londres) permettent de réduire le trafic mais sur un périmètre citadin très réduit et disposant de transports en commun en proportion ; et le réseau de transports en commun en lui-même se révèle souvent insuffisant à déplacer une grande partie des salariés.


Pour toutes les raisons citées ci-dessus, il semble nécessaire d’adopter des comportements plus modérés en matière de transports.
La part la plus importante des migrations est imputée aux trajets domicile-travail, mais ce type de trajet est justement le plus facile à partager car il est quotidien et régulier.
Et pourtant, le covoiturage n’est actuellement que très faiblement pratiqué.

Il ne tient qu'à chacun de nous d'inverser la tendance !



dimanche 15 février 2009

RECETTE : Choux de Bruxelles à la savoyarde



Préparation : 30 min
Cuisson : 10 min

Ingrédients (pour 4 personnes) :

- 1 kg de choux de Bruxelles
- 250 g de jambon de montagne ou de saucisses fumées
- 200 g de gruyère
- 20 cl de crème liquide
- 50 g de beurre
- sel et poivre


Préparation :

- Faites cuire les choux 20 min dans de l'eau bouillante salée.
- Disposez-en la moitié au fond d'un plat beurré.
- Répartissez une couche de gruyère et de jambon, puis le restant de choux et de mélange jambon-gruyère.
- Arrosez de crème, salez, poivrez, parsemez de beurre et enfournez au four 10 min (thermostat 7, 210°C).

Régalez-vous !


lundi 9 février 2009

Pour le mardi 10 février




- Cotisation annuelle à l'AMAPBDM (10 €) à régler à Gérard.
- Renouvellement du contrat "légumes" pour les anciens adhérents auprès de Sylvie de 17h30 à 19h.
- Contrat "agneau" auprès de Mickaël.



Dans votre panier vous pourrez mettre :

- poireaux
- carottes
- céleri
- topinambours
- choux
- pommes de terre
- courge



jeudi 5 février 2009

SOS Parc Longchamp à Marseille




Si rien n'est fait, un projet de parking souterrain défigurera d'ici peu, le Parc Longchamp, l'unique grand parc public du centre ville de Marseille.




Lettre ouverte à Christine ALBANEL, ministre de la Culture et de la Communication

Madame la Ministre,

Les riverains du Parc Longchamp et au delà, toute la population de Marseille ne pourraient accepter que soient engagés les travaux de réalisation du projet de parking de 500 places par la société Q-Park qui bénéficie pour cela d’une délégation de service public de la Communauté Urbaine de Marseille (CUM) et à qui le préfet de région a délivré une autorisation de travaux sur un immeuble classé au titre des monuments historiques (autorisation N° AC 013 055 08 MA 015 en date du 6 août 2008).

Ces travaux s’ils étaient réalisés impliqueraient notamment :
la destruction de 22 arbres remarquables et vénérables appartenant aux espèces rares importées au moment de la construction du parc (Celtis, Liquidambars, Tulipiers de Virginie, Platanes, Buis de Mahon),
la condamnation, à cause du stress hydrique conséquent aux travaux, des autres arbres sur une superficie représentant le quart de la superficie du jardin.
Ils signifieraient un coup fatal porté à ce patrimoine historique, culturel et paysager, dernier poumon de Marseille fréquenté chaque année par un million de visiteurs.
Coup fatal auquel s’ajoutent, pour les quartiers situés à la périphérie du parc, toutes les nuisances prévisibles en matière d’aggravation des conditions de pollution de l’air et d’aggravation de la circulation automobile pour lesquelles les études d’impact n’ont pas été effectuées.

Une telle catastrophe n’est possible que parce que l’autorisation accordée sous
votre autorité, entachée de nombreux vices de forme et de procédure, a en outre été
délivrée au mépris des dispositions tant du POS que des codes de l’Urbanisme et du
Patrimoine.
En novembre 2007, la commission nationale des monuments historiques placée sous votre autorité avait, sur ce projet, donné un avis défavorable. Qui oserait prétendre que les raisons pour lesquelles l’autorisation avait alors été refusée auraient été depuis en quoi que ce soit modifiées ?

Un nombre plus que significatif de citoyens et citoyennes résidant dans les quartiers périphériques du Parc Longchamp ont signé et adressé le 17 octobre au préfet de la région PACA un recours gracieux établissant toutes les raisons qui auraient dû conduire au retrait de l’autorisation de construire délivrée.
Cette exigence est restée sans réponse.
Dés lors, ils ne voient aujourd’hui d’autre issue que de recourir aux instances de la juridiction administrative afin que la loi soit respectée et que l’autorisation délivrée le 6 août 2008 soit annulée.

En leur nom et au nom de tous ceux et celles qui, à Marseille, demeurent résolument attachés à la préservation de l’intégrité du parc Longchamp, nous faisons appel à votre sens des responsabilités et du respect du bien public.
Décider sans tarder le retrait de l’autorisation irrégulièrement accordée est la réponse la plus sage et la plus économique qui est aujourd’hui en votre pouvoir.

Recevez l’expression de notre profond attachement au respect de la loi pour la préservation du bien public.

Marseille le 28 janvier 2009

Le collectif “ SOS LONGCHAMP ”



Site à consulter
Collectif d’informations pour la sauvegarde du Parc Longchamp et des autres espaces verts de Marseille.



lundi 2 février 2009

Ré-abonnement saison légumes printemps-été 2009


Plus que quelques distributions et la saison automne-hiver de l'AMAPBDM va s'arrêter, le 24 février 2009.

La saison printemps-été 2009 démarrera le 28 avril 2009 pour se terminer le 27 octobre 2009 (pas de distribution le 14 juillet 2009).

JP n'augmente pas le prix du panier par rapport à la saison printemps-été 2008, soit 25 € pour un panier entier et 12,50 € pour 1/2 panier.
La saison complète comptera 26 livraisons.

Par mail, vous recevrez les modalités de paiement et le nouveau contrat.

Je serai présente les mardis de 17h30 à 19 heures (pas plus tard, ayant ailleurs d'autres obligations), pour recueillir tous vos documents (contrat en 3 exemplaires et chèques).
- 03 février pour les anciens adhérents
- 10 février pour les anciens adhérents
- 17 février pour les anciens adhérents
- 24 février pour les nouveaux adhérents s'il reste des paniers à pourvoir

N'attendez pas le dernier moment, nous sommes nombreux et vous risquez d'attendre un peu.

Si vous ne désirez pas vous ré-inscrire, vous serait-il possible de me le dire assez rapidement pour que je puisse contacter les personnes en liste d'attente, merci pour elles.

N'hésitez pas à me contacter si vous avez des remarques (négatives ou positives) sur cette saison qui s'achève. Cela pourra nous permettre de mettre en place des améliorations permettant à chacun de mieux se retrouver au sein de notre association.



Appel à cotisation pour l'année 2009

Début, du mois de février, début de l'année 2009 et voilà que nous devons régler notre cotisation en tant qu'adhérent à l'AMAPBDM : une adhésion par famille venant chercher des produits dans le cadre de nos distributions.

Pas d'augmentation (c'est une bonne nouvelle, non ?), le montant de l'adhésion reste égal à 10 €.
Gérard, notre nouveau trésorier vous accueillera les mardis 3 et 10 février, de 18h à 19h30.
Il est préférable que vous régliez par chèque mais si vous payez en espèces, prévoyez s'il vous plaît l'appoint.

Bon début de semaine !


dimanche 1 février 2009

Contrat AGNEAU 2009



Voici le message que nous laisse Mickaël, notre coordinateur pour la viande d'agneau :

Après une longue pause depuis la dernière livraison de mai 2008, les contrats pour l'agneau sont de retour pour l'année 2009.
Ces contrats sont un engagement pour deux livraisons qui auront lieu en juin et en décembre 2009.

Pour mémoire, un agneau pèse en moyenne 15 Kg.
Nous avons convenu de 50 euros d'arrhes par demi-agneau. L'adhérent paiera la différence lors de la distribution.
Le producteur vend les abats ( Foie/Coeur) séparément pour 10 euros.

- 1/2 agneau (7,5 kg en moyenne) : 12 €/kg 50 € d'arrhes
- Agneau entier (15 kg en moyenne) :
12 €/kg 100 € d'arrhes

Le domaine produit tout sur place ( Fourrage, céréales ) sauf certains compléments. On peut visiter son site et sa ferme est visitable.





Autrement, pour satisfaire la gourmandise de certain(e)s d'entre vous, nous proposons une livraison exceptionnelle le 24 février qui dépendra du nombre de demi-agneau commandé.

Il nous faut les commandes et les arrhes pour le 17 février dernier délai.
Le 17 au soir, en fonction du nombre de commande, le producteur décidera d'honorer ou non les commandes.






Pour vous mettre l'eau à la bouche, je vous ai mis les commentaires des adhérents ayant testé l'agneau ci-dessous :

"Nous avons dégusté les côtelettes et l'épaule sous forme de grillades et brochettes sur barbecue. De l'avis de de tous ; famille et amis (gourmands et gourmets) cette viande est exceptionnelle de finesse et de goût. Le prix est à peine plus cher que les promos sur 1/2 agneau de carrefour dont la couleur de la viande et la grosseur des côtelettes font penser au père ou au grand père de l'agneau et j'exagère à peine.
Concernant la quantité nous avons partagé le 1/2 agneau avec une autre AMAPienne."

"Que dire ? Bon produit, la viande est très fine et goûteuse. Cela n'a rien à voir avec l'agneau du commerce même si vous vous fournissez chez un petit boucher de quartier. De plus le rapport qualité/prix est des plus correct (mais il ne faut pas trop le dire)".

N'hésitez pas à passer commande pour le 24 février, vous aurez de l'excellente viande d'agneau pour Pâques.
Par mail, vous recevrez le contrat 2009 à rapporter (en 3 exemplaires) signé à Mickaël.