mercredi 30 juillet 2008

Distribution du 29 juillet : produits variés

Les délicieux fromages et le beurre de Monique :









L'excellente huile de Jean-Claude :











Déchargement et installation :






Les légumes du jour, un délice comme toujours :

























vendredi 25 juillet 2008

RECETTE : Terrine de courgettes au curry



Pour 2 personne(s)


- 1 courgette moyenne
- 1 oignon
- 2 oeufs
- 1 cuillère à café de curry en poudre
- 50 g de mie de pain rassi
- 50 g de gruyère râpé
- 8 cl de lait
- 1 cuillère à soupe d'huile d'olive
- 1/2 cuillère à café de persil et ciboulette ciselés
- sel, poivre

Laver, ôter les extrémités de la courgette.
La couper en petits dés sans la peler.
Peler et émincer très finement l'oignon.
Faire chauffer l'huile dans une sauteuse, y faire revenir l'oignon et la courgette sur feu moyen 5 minutes.

Faire gonfler la mie de pain dans le lait tiédi.
Ecraser à la fourchette.

Dans une terrine, fouetter les oeufs avec du sel et du poivre.
Ajouter la courgette, le gruyere râpé, le pain, les herbes et le curry en poudre.
Bien mélanger le tout.

Préchauffer le four à température moyenne,180 degrés sur thermostat 6.
Beurrer 2 petits moules ou ramequins allant au four, y verser la préparation.
Cuire au bain-marie 35 minutes environ.

A la sortie du four, ôter du bain-marie. Laisser refroidir et placer au réfrigérateur.

Déguster froid avec une salade verte ou de tomates.


Regard sur les AMAP d'ailleurs : VANNES


Morbihan

Amap. Manger bio en soutenant un producteur local

Ambiance animée ce jeudi après-midi dans une petite bâtisse au fond d’un jardin, à Saint-Avé.
Chaque semaine, c’est le même rituel.
Des membres de l’Amap (Association pour le maintien d’une agriculture paysanne) du pays de Vannes pèsent tomates, concombres, salades et pommes de terre avant de les répartir dans trente paniers.
Des paniers équitablement garnis destinés aux familles membres de l’association.

Découvrir de nouveaux légumes

« Elle a été créée en juillet 2007, explique Sébastien Namèche.
Nous soutenons une agriculture respectueuse de l’environnement - donc bio -, du producteur et du consommateur ».
Les adhérents de l’Amap ont ainsi passé un accord avec David Hoarau, un producteur bio de Surzur.
« Nous donnons une avance à David Hoarau tous les quatre mois.
Celui-ci nous apporte sa production chaque semaine », explique Sébastien Namèche.
La production hebdomadaire est ensuite partagée entre les membres de l’association.
Chaque panier de légumes hebdomadaire revient à environ 15 €.
« Ça reste moins cher que les tarifs pratiqués dans les marchés bio », juge Nolwenn, l’épouse de Sébastien Namèche.
Reste que dans le cadre d’une Amap, le consommateur ne choisit pas ses produits.
« Mais ça permet de découvrir de nouveaux légumes ! Comme le patidou, une variété de courge », ajoute Sébastien Namèche. « Et si on n’aime pas tel ou
tel légume, il y a toujours la possibilité de s’arranger entre nous », souligne Nolwenn.

Six personnes sur liste d’attente

« Le principe de l’Amap m’a plu dès le début, sourit David Hoarau. Ça me fait un chiffre d’affaires régulier.
Je peux travailler au fur et à mesure, en sachant que je n’aurai pas de pertes ».
« Le principe de l’Amap fonctionne bien ici », souligne Sébastien Namèche.
« Nous avons environ six personnes sur liste d’attente », continue-t-il.
Un chiffre en diminution notamment depuis la création d’une autre Amap à Arradon, au début du mois de juillet.

Le Télégramme.com



jeudi 24 juillet 2008

Les fruits et les légumes de JP du 22 juillet

Guillaume, notre reporter, était fidèle au poste :




Témoignage de Marie-Hélène (elle venait pour la première fois en remplacement d'une de ses amie partie en vacances), ce matin même au téléphone :

" Vous féliciterez de ma part votre producteur, cela fait quarante ans que je n'avais pas mangé des fraises aussi délicieuses ! "

Alors, grand MERCI Jean-Philippe pour la qualité des fruits et des légumes que tu nous apportes chaque semaine.
Nous mesurons aussi le travail que cela représente pour toi et ta famille.























On en mangerait...


mardi 22 juillet 2008

Regard sur les Amap d'ailleurs : dans la Sarthe


C'est au Japon que le concept sur lequel s'appuient les Amap a émergé dans les années 1960.
Des mères de famille se sont inquiétées des conséquences, sur la santé, de l'intensification de l'agriculture et de l'usage massif des pesticides.
Elles se sont donc regroupées pour passer un contrat avec un agriculteur : la garantie d'achat de toute sa production à l'avance, contre son engagement à produire sans produits chimiques.
Le nom donné à ce système, Teikei, signifie « mettre le visage du paysan sur les aliments. »

En France, la première Association pour le maintien d'une agriculture paysanne (Amap) a vu le jour près de Toulon en 2001.
Depuis, le développement des Amap est exponentiel : leur nombre est difficile à estimer, mais il en existerait plus de vingt dans les Pays-de-Loire.

En Sarthe, elles sont sept qui concernent toutes des maraîchers, donc des livraisons de légumes : au Mans, à Pontvallain, Flée, Vaas, Saint-Michel-de-Chavaignes et à Crosmières.
La plus ancienne a été créée en 2004.
Les Amap peuvent concerner d'autres produits, comme la viande, les fruits, le pain ou le fromage, mais à chaque fois il faut passer un nouveau contrat avec l'agriculteur concerné.
Les adhérents s'engagent à organiser le circuit de livraison des produits et leur répartition.
Ils sont solidaires des aléas de production auxquels les maraîchers peuvent être confrontés.

Article extrait du site maville.com



Avec Damien Fihey, Isabelle Péry cultive un hectare et demi de terre maraîchère à Saint-Michel-de-Chavaignes, pour fournir en légumes les adhérents de trois Amap de la Sarthe.


Le Mans
Première carotte pour les Croqueurs de légumes

Les adhérents de la 6e association pour le maintien d'une agriculture paysanne (Amap) créée en Sarthe, ont touché leur premier panier. Au menu : blette et chicorée. Bio bien sûr !

Quatre tréteaux, deux planches, une balance, un tas de cageots et un spot de chantier comme seul éclairage. Le rendez-vous fixé dans le parking souterrain prêté par la librairie Thuard a des allures clandestines. Ici, pourtant, pas de sombre deal. Que des légumes en partance !

Jeudi soir, les quelque trente adhérents de la toute récente association des Croqueurs de légumes, septième et dernière Amap (lire plus bas) créée en
Sarthe, viennent chercher leur premier panier. Au menu : blette, patates, courgettes, carottes, chicorée, persil, ail et choux-fleurs.

Pendant au moins 8
mois, période de leur engagement financier et moral scellé avec un couple maraîcher du sud du département, les « amapiens » vont répéter chaque semaine cet exercice.

Jeudi, il est 18 h 15. Quatre adhérents sont déjà attelés à la répartition de la récolte apportée par les deux jeunes agriculteurs.
« Elles sentent bon ces
carottes », sourit Pascal, employé au bureau « méthode et étude » d'une entreprise de chaudronnerie.
Claude, retraitée de l'Éducation nationale, arrive
pour donner un coup de main. Pourquoi avoir adhéré à l'Amap ? « J'allais régulièrement au Fenouil. C'est devenu très cher, constate-t-elle. Et puis ici, on apprend à se rencontrer. Il y a des personnes de tous les âges. »

Neuf courgettes à se partager...

Les 27 cagettes à garnir se remplissent progressivement. « Il y a des semaines où on aura plus de légumes. D'autres où on en aura moins. Voilà. C'est comme ça que cela marche », s'amuse Claude. « Il reste 9 courgettes à partager. Débrouillez-vous ! », lance Pascal en levant le nez de la balance électronique prêtée par les maraîchers.

Il est 19 h. Tous les paniers (11 € pour le petit modèle et 16 € pour le grand) sont garnis. « Ouais ! Il y a des carottes et de la salade », se réjouit Laure,
32 ans. « Je ne sais pas ce que je vais trouver comme légumes. Ça donne un peu de piment », glisse Cindy, 28 ans, qui travaille dans le merchandising.

Les
adhérents débarquent progressivement. Ils partagent tous les mêmes motivations : envie de manger bio et frais, revenir aux légumes de saison et tisser un lien entre agriculteurs et consommateurs locaux.

Dans les rangs des « amapiens », on compte largement plus de filles que de garçons. Le genre dominant ? Plutôt bobo pour certains. Tendance groupe de
copines macrobio pour d'autres. Ici, tout le monde se salue. On sent une certaine bienveillance générale. Une discussion s'engage. A-t-on assez de deux
personnes pour préparer tous les paniers le jeudi ? Pas sûr ! « Je suis prête à venir donner un coup de main la semaine prochaine », propose un membre de
l'Amap. Sa voisine embraye. On ne manque pas de volontaire.

Manger avec sa tête

Il est presque 19 h 30. Sandrine, enseignante de 36 ans, est l'une des dernières à récupérer son panier. « À partir de maintenant, je vais attendre le jeudi pour faire le reste des courses. Car je me retrouve avec deux choux-fleurs, indique-t-elle.

Tous les revenus pourraient-ils profiter de ce système de
l'Amap ? « Il faut voir à la longue, mais je pense que ce n'est pas abordable pour tout le monde. » Laurence, 37 ans, n'a pas le même avis. « La part de la nourriture dans le budget des gens n'a cessé de baisser au fil des années. Adhérer à ce type de système c'est aussi faire un choix sur les dépenses qu'on réalise. » L'Amap serait donc un lieu où on apprend aussi à manger avec sa tête.

ma ville .com


lundi 21 juillet 2008

Dans le panier du mardi 22 juillet



Vous trouverez :

- des courgettes
- des aubergines
- des poivrons
- des tomates
- des tomates-cerises
- des pommes de terre
- du persil
- du basilic
- de la salade
- de l'ail
- des oignons
- des fraises, beaucoup de fraises !!!!!


samedi 19 juillet 2008

Regard sur les AMAP d'ailleurs : Chantilly



Leur récolte dans votre assiette

Les amateurs des Jardins familiaux proposent aux habitants des paniers de fruits et légumes sans pesticides. La liste d'attente est longue.

FATIGUÉ de manger cinq légumes et cinq fruits gavés de pesticides ? François Jacobée, maraîcher des Jardins familiaux de Chantilly, propose aux consommateurs carottes, salades, pommes de terre bio sur 800 m 2 . Tous les trésors de son jardin dans un panier au prix modique de 5 €. Pour goûter ces
délices, il suffit de verser en plus 1 € d'adhésion aux Jardins familiaux de Chantilly.

Le concept est inspiré de l'Amap, Association pour le maintien d'une agriculture paysanne : une vente directe est réalisée entre un producteur et un
groupement de consommateurs, moyennant un abonnement. Ici, le partenariat est un peu différent. Il associe les Jardins familiaux, donc des amateurs, et
des particuliers.

« Pas de désherbants ni de produits chimiques »

Tous les mercredis de 16 heures à 19 h 30, rue de la Nonette, à Chantilly, c'est l'heure de la distribution. Une vingtaine de petits malins arrivent leur
panier sous le bras. François Jacobée y dépose la récolte de la semaine. Comme cette violette de France, pomme de terre à la chair couleur aubergine
excellente pour les purées.

Créée il y a quinze jours, cette formule s'adresse pour l'instant uniquement aux habitants de l'Aire Cantilienne. « Nous n'utilisons pas de désherbants ni
de produits chimiques. Nous n'avons pas encore la certification bio », précise par souci d'honnêteté le jardinier. Mais ses légumes offrent des garanties
similaires. « La culture bio, ce n'est pas nouveau. On en parlait déjà dans les années 1960. Mais, maintenant, il y a urgence. » « Nous avions une forte
demande et n'arrivions pas à fournir, explique Philippe Normand, le président des Jardins familiaux de Chantilly. Les terres disponibles sont de plus en
plus rares en raison de la pression foncière dans le sud de l'Oise. »

Pour faire germer leur projet, les deux jardiniers cantiliens négocient de nouvelles parcelles. « Trois hectares sont en pourparlers avec le parc naturel
régional », précise Philippe Normand. Il en convoite six autres sur les Floralies, des terrains qui appartiennent à l'Institut de France. « Ce serait un site
idéal avec un étang. » De quoi satisfaire cent vingt acheteurs, voire le double, qui patientent déjà sur une liste d'attente. Les très rares agriculteurs qui
se sont lancés dans les paniers bio sont d'ailleurs débordés par la demande. Certains avouent avoir laissé sur leur faim plus de mille clients.

L'expérience de Chantilly se couple avec un volet insertion soutenu par la mairie. L'idée est de former des chômeurs au maraîchage. « Mais il n'y a pas de
structure de formation dans l'Oise », déplore François Jacobée.

Une fois l'affaire lancée, les jardiniers imaginent déjà livrer leurs paniers bio sur un vélo électrique dans un rayon d'une quinzaine de kilomètres à la
ronde. Et aller au-delà de l'Aire Cantilienne.

Article extrait du Parisien.fr




vendredi 18 juillet 2008

La Fondation Nicolas Hulot promeut la Biodiversité dans l'assiette



Du 13 au 19 octobre prochain, la Fondation Nicolas Hulot profitera de la 19ème édition de la Semaine du Goût pour introduire dans nos cuisines la thématique "alimentation et environnement", l'un des thèmes privilégiés du Défi pour la Terre. Sensibiliser à une consommation alimentaire plus respectueuse de l'environnement et inciter le grand public à adopter de bonnes pratiques au quotidien, tels sont les objectifs de l'opération "Des Fraises au Printemps".

Les modes de culture des produits, qui sont à la base de notre alimentation, ont un impact non négligeable sur l'équilibre des milieux naturels. La biodiversité indispensable au fonctionnement des champs est menacée, en retour, par l'intensification des pratiques agricoles. En outre, avant d'arriver dans l'assiette, les aliments de base que nous consommons sont transformés et transportés. Ces étapes, souvent très industrialisées, utilisent beaucoup d'énergie et génèrent l'émission de gaz à effet de serre qui ont des conséquences avérées sur l'environnement en général et sur le climat en particulier.

Un enjeu : Retrouver du plaisir, des couleurs et du " bon sens " dans nos assiettes !

À l'occasion de la Semaine du Goût, la Fondation Nicolas Hulot souhaite inciter le plus grand nombre à revenir à des fondamentaux en matière de consommation. Pour cela, elle met à disposition sur le site www.defipourlaterre.org des outils pour comprendre et agir :

- Le petit manuel "Des Fraises au Printemps" pour satisfaire son appétit dans le respect de l'environnement permet aux consommateurs de faire des choix

sains et " responsables " pendant ses courses. Informations pratiques, saisonnalité des fruits et des légumes, labels repères (bio, label rouge, commerce équitable), liste des poissons et laitages… un guide malin à emporter partout avec soi !

- Une plate-forme de géolocalisation d'AMAP (associations pour le maintien d'une agriculture paysanne), "jardins de Cocagne", marchés bio… permettant au public de trouver près de chez soi des produits locaux et de saison.

- Des fiches pédagogiques pour mieux comprendre les enjeux d'une consommation alimentaire durable et responsable.

- Des fiches recettes " écolo-gourmandes " conçues par des grands noms du monde culinaire -Marc Veyrat, Julie Andrieu, Jean Montagard, Bernard Charret - qui indiqueront notamment la saisonnalité des produits utilisés, leur origine et provenance ou encore leur intérêt pour la biodiversité. …




AUVERGNE : Permettre aux budgets modestes d'accéder au BIO


Avec la hausse des prix des produits alimentaires, il est plus difficile d’accéder à des produits de qualité et d’avoir une alimentation équilibrée.

Depuis 2006, l’association auvergnate Solidarité reprend le principe des Amap (Associations pour le maintien de l’agriculture paysanne) tout en

permettant aux budgets les plus modestes d’accéder à des produits biologiques et variés, grâce à un système de prix modulables.

Les tarifs des paniers sont modulables en fonction des revenus des familles.
Les agriculteurs ne savent pas à quelle catégorie appartiennent les adhérents et c’est une caisse centrale qui ajuste le prix au moment du paiement.

Article extrait du site LA GRANDE EPOQUE, rubrique Brèves d'espoir



jeudi 17 juillet 2008



Les distributions des légumes reprendront normalement le mardi 22 juillet et sans interruption jusqu'à la fin de la saison.

N'oubliez pas de me communiquer vos absences et les coordonnées de vos remplaçants durant vos vacances d'été.

Il y aura une distribution d'huile le mardi 29 juillet.
Il est conseillé de passer vos commandes avant cette date pour que Monsieur Note puisse s'organiser. Vous pouvez me les adresser par mail (9 € la bouteille de 500 ml)

Pensez aussi à vous inscrire pour aider avant, pendant et après les distributions. Si chacun donne un peu de son temps, la tâche de tous est allégée...

Bonnes vacances à toutes et à tous !